Apaisante, nourrissante, bienveillante, la campagne c’est tout cela, mais pas seulement.
Le voyage qu’elle propose ici est avant tout visuel, pour mieux la ressentir, mieux la respirer, pour se poser devant elle et savourer toutes ses facettes, pour l’aimer encore davantage.
Des détails qui n’en sont pas.
On dit que la photographie c’est
mieux voir, c’est ouvrir son coeur, c’est saisir
le merveilleux qui est là, juste sous nos yeux.
Mettre en avant les « petites choses » que nous offre la nature, c’est entrer dans cet autre monde, c’est pousser la porte de la maison des oubliés ou des trop discrets, c’est prendre un verre avec les bonheurs simples et trinquer à leur santé.
Du patrimoine, de la culture, du graphisme, des couleurs, de l’animation, de l’art, des traces d’un « peuple » qui vit ensemble. Une activité incessante, partout, dans tous les sens.
Le village ou la ville, une fourmilière intensément riche et vivante.
De près ou de loin, silhouette reconnaissable, détails de corps qui ne trompent pas, l’être humain a de multiples visages, et lorsqu’il s’invite dans une image, c’est souvent parce qu’il a quelque chose à raconter. Il devient alors parfois plus humain que jamais.
De là-haut le monde est si petit.
Le regard se fait plus acéré, les ailes s’ouvrent, et tel un Icare ayant enfin atteint son but, nous devenons oiseau, libre, léger, parcourant le monde avec plus de hauteur, l’observant sous un autre angle.
Là-haut, la nature est reine, belle, impressionnante.
Derrière chaque pierre, chaque mur, chaque héritage du passé, il y a l’âme, la vie, les pensées d’hommes et de femmes qui résistent encore au temps, distillant leur vieux refrain pour l’éternité. Un cadeau d’hier à aujourd’hui.
L’eau… sous toutes ses formes.
L’eau qui coule, l’eau qui ondule, l’eau qui écume, l’eau qui fume, l’eau qui galope, l’eau qui se fait miroir. Cette eau si nécessaire à l’homme et si inspirante, si attirante pour un(e) photographe.